Saturday 18 February 2017

Ezer Weizman Shaul Weizmann Forex

Ezer Weizman Carrière militaire Modifier Weizman est assis sur la racine de l'aile de son Avia S 199, une version tchèque du Me 109. Weizman était un pilote de combat. Il a reçu sa formation dans l'armée britannique dans laquelle il s'est enrôlé en 1942 pour combattre les nazis. Il a servi comme chauffeur de camion dans les campagnes du désert occidental en Egypte et en Libye. En 1943, il rejoint la Royal Air Force britannique (RAF) et fréquente l'école de l'aviation en Rhodésie. Il a servi avec la RAF en Inde au début de 1944. Weizman a terminé son service dans la RAF comme pilote de sergent. Entre 1944 et 1946, il était membre du clandestin Irgun dans la Palestine Obligatoire. Entre 1946 et 1947, il étudie l'aéronautique en Angleterre. Weizman était un pilote pour la Haganah dans la guerre israélo arabe de 1948. Il était le commandant de l'escadron de l'air du Néguev près de Nir Am. En mai 1948, il apprend à voler l'Avia S 199 à la base aérienne esk Budjovice en Tchécoslovaquie et participe à la première mission de chasseurs israélienne, une attaque au sol contre une colonne égyptienne avançant vers Ad Halom près de la ville arabe d'Isdud au sud de Tel Aviv . 2 Lors d'une bataille entre les avions israéliens et britanniques le 7 janvier 1949, il a volé l'un des quatre combattants israéliens Spitfire qui ont attaqué 19 combattants britanniques qui étaient en mission de sauvetage en Égypte à la recherche de quatre avions détruits lors d'une attaque antérieure de la FAI . 3 Un RAF Hawker Tempest a été abattu par l'IAF, entraînant la mort du pilote. 4 En raison d'un échec de l'équipage au sol, la plupart des avions de la RAF n'étaient pas armés. 5 Après la création de l'Etat d'Israël, Weizman a rejoint les Forces de Défense israéliennes et a servi de chef d'opérations à l'état major général. 91 citation nécessaire 93 En 1951, il a assisté au RAF Staff College, Andover en Angleterre. À son retour, il est devenu commandant de Ramat David. 2 Il a servi comme commandant de l'armée de l'air israélienne entre 1958 et 1966, puis a servi comme chef adjoint de l'état major général. Il a dirigé les attaques aériennes surprise au début de la matinée contre les bases aériennes égyptiennes, ce qui a donné à la supériorité aérienne totale des Israéliens sur les champs de bataille du Sinaï en détruisant totalement l'armée de l'air égyptienne en 3 heures. Un total de 400 avions ennemis ont été détruits par l'armée de l'air israélienne le 1er jour de la guerre de 6 jours. Bien qu'il soit devenu le chef d'état major adjoint des FDI en 1966, il a pris sa retraite du service militaire en 1969. Carrière politique Le roi Mahendra du Népal (à gauche) en visite en Israël accompagné du directeur général du ministère de la Défense Shimon Peres Gen Ezer Weizman (à droite), 1958 En se retirant de l'armée, Weizman rejoint le parti de droite Gahal. Il a servi en tant que ministre des Transports dans le gouvernement d'unité nationale de Levi Eshkol jusqu'à ce que Gahal ait quitté la coalition en 1970. Weizman a quitté Gahal en 1972, mais est retourné en 1976, alors qu'il était devenu Likud. En 1977, il est devenu ministre de la Défense sous Menachem Begin. Pendant son mandat, Israël a lancé l'opération Litani contre l'OLP dans le sud du Liban et a développé le chasseur IAI Lavi. Au fil du temps, les vues Weizmans sont devenues plus dovish. Après la visite à Jérusalem du président des Égyptiens Anwar Sadat en 1977, Weizman a développé une étroite amitié avec lui. Ces relations ont été un facteur crucial dans les pourparlers qui ont abouti aux Accords de Camp David de 1978, suivis d'un traité de paix avec l'Egypte l'année suivante. 6 En mai 1980, Weizman a quitté le gouvernement. Il envisage d'établir un nouveau parti avec Moshe Dayan. Qui a conduit à son éviction du Likoud. Pour les quatre prochaines années, il a mis la politique en attente et est entré dans le monde des affaires. En 1984, il établit un nouveau parti, Yahad. Qui a remporté 3 sièges aux élections de 1984. Le parti a rejoint un gouvernement d'unité nationale dans lequel Shimon Peres et Yitzhak Shamir ont servi comme premiers ministres en rotation. En octobre 1986, Yachad a fusionné avec l'alignement. Après le départ de Mapam et Yossi Sarid. Entre 1984 et 1990, M. Weizman était ministre des Affaires arabes, puis ministre des Sciences et de la Technologie. En 1992, l'Alignement est devenu le Parti travailliste israélien. Présidence Modifier Le 24 mars 1993, la Knesset a élu Weizman, à la majorité de 66 à 53 (contre Dov Shilansky, le candidat du Likoud), pour servir de prochain président d'Israël. Il a pris ses fonctions de président le 13 mai 1993. En 1996, dans une tentative de promouvoir le processus de paix. Weizman a invité Yasser Arafat pour une visite privée à sa maison à Césarée. En 1999, il a rencontré Nayef Hawatmeh, chef du DFLP. Déclarant que je suis même prêt à rencontrer le diable si cela aide à apporter la paix. Il a ouvertement soutenu le retrait des hauteurs du Golan en échange de la paix avec la Syrie, attirant les critiques des partis de droite. À la fin de 1999, les journaux publiaient des allégations selon lesquelles Weizman avait accepté d'importantes sommes d'argent d'hommes d'affaires avant de devenir président, sans en informer les autorités compétentes. 91 Citation nécessaire 93 Depuis l'expiration du délai de prescription Weizman n'a pas été poursuivi, mais la controverse l'a contraint à démissionner. La démission de Weizmans a pris effet le 13 juillet 2000. Distinctions et récompenses Modifier En 2005, il a été élu le 9e plus grand israélien de tous les temps, dans un sondage réalisé par le site de nouvelles israélien Ynet pour déterminer qui le grand public considérait les 200 plus grands Israéliens. 9 Ouvrages publiés Edit On Eagles Wings: L'histoire personnelle du premier commandant de l'armée de l'air israélienne (1975) La bataille pour la paix (1981) Ruth, Sof (2002) (Hébreu) ​​Références Modifier Weizman, Ezer, On Eagles Wings: L'histoire personnelle du commandant principal de l'armée de l'air israélienne. New York: Macmillan Publishing Co., 1976 ISBN 0 02 625790 4 Généraux d'Israël. Ed. Moshe Ben Shaul, Hadar Publishing, Tel Aviv, 1968 Liens externes EditEzer Weizman, un paradoxal président israélien, est décédé le 24 avril, à l'âge de 80 ans TOUS les pays émergents font des héros de leurs fondateurs. Dans le récit national israélien comme un renouveau féroce luttant contre des ennemis impitoyables, ses héros ont acquis le statut d'une aristocratie de fortune, les Pères fondateurs et les généraux homériques en un tout. Ezer Weizman était le dernier de cette race légendaire. Incarnation de tous les paradoxes des Israélites, il était un sorcier de la stratégie militaire et un improvisateur téméraire, un faucon renaqué comme une colombe, à la fois fringant et grossier, homme d'État et impolitique, ambitieux mais contrarié, irrésistible mais répréhensible dans ses relations avec les femmes, Et un descendant de la classe dirigeante qui a pris parti avec le roturier. En termes israéliens, M. Weizman, né dans la ville côtière du nord de Haïfa, étincelante et ethniquement mélangée, avait le bleu le plus bleu. Son oncle était le premier président aimé d'Israël, Chaim Weizmann (Ezer devait abandonner le dernier n), et son grand père, Ozer, après qui il a été nommé, était un chef éminent des Juifs britanniques. Lui et Moshe Dayan, un autre général légendaire, se mariaient avec des sœurs. Il aimait voler, et l'a pris comme un adolescent. En 1942, il s'entraînait comme pilote pour Britains Royal Air Force lorsque son cousin Michael, fils de Chaims, le capitaine d'un kamikaze Whitley, descendit sur le golfe de Gascogne. En disant à son oncle qu'il allait prendre Michaels place, M. Weizman a volé Spitfires avec la RAF pour le reste de la guerre avant de retourner à la Palestine Mandatory pour établir ce qui deviendrait l'armée de l'air israélienne (IAF). Dans la vie politique plus tard il a gardé un noir chéri Spitfire, qui a volé parmi les chasseurs de jet modernes à son enterrement d'état. Son audace et son dévouement se montraient tous les deux tôt. Dans un des premiers triomphes de l'IAF, en 1949, il a mené une sortie thatironicallyshot down cinq RAF Spitfires reconnaître la frontière entre l'Egypte et Israël. M. Weizman fit alors glisser l'épave des Spitfires dans le territoire israélien pour faire apparaître que les Britanniques avaient violé son espace aérien. Ses collègues pensaient encore que les chars étaient l'avenir, et non les avions. Mais la longue bataille de M. Weizmans pour obtenir des ressources pour ses pilotes a été justifiée lors de la guerre de 1967, lorsque des frappes aériennes préventives israéliennes ont détruit l'armée de l'air égyptienne sur le terrain, assurant une victoire incroyablement rapide. Il aurait dû être nommé chef du personnel. Mais dans une tradition qui ne sera cassée que ce mois de juin, aucun homme de l'IAF n'a jamais été récompensé du meilleur emploi militaire. Profondément déçu, en 1969 M. Weizman a quitté les forces armées et a sauté dans la politique. C'était un temps instable. Israels défendant la confiance en soi et la foi des Israéliens dans les gouvernements travaillistes qui les avaient toujours gouvernés ont été brisés par la quasi déroute de la guerre du Yom Kippour en 1973. Et c'est Weizman lui même, le vieux fils favori de gauche, qui a contribué à lui infliger le coup fatal. Il dirigea la campagne électorale de 1977 pour le Likuds de droite Menachem Begin et devint le premier ministre de la défense du Likoud. Pourtant, sa position stratégique était aussi pragmatique que sa politique et elle adoucissait. Ayant d'abord préconisé l'annexion de toutes les terres capturées en 1967, il a rapidement poussé à remettre la péninsule du Sinaï en Egypte et est devenu un des premiers partisans à céder des sections de la Cisjordanie et de Gaza aux Palestiniens. Il aurait peut être eu la chance d'occuper le poste de chef de file: Yitzhak Shamir, successeur de Begins, a offert d'alterner avec lui comme premier ministre dans un gouvernement de coalition. Mais M. Weizman a rejeté l'offre, préférant soutenir le gauchiste Shimon Peres. Supper avec le diable Bientôt il a été aussi radical une colombe comme il avait été un faucon. Essayons de parler à Yasser Arafat, dit il dans une interview de 1987. Nous avons l'une des meilleures forces aériennes au monde, nous avons une des meilleures armées du monde. Qu'est ce que l'enfer nous inquiète à l'époque, ce fut l'hérésie. Lorsque M. Weizman a rencontré Nabil Ramlawi, un fonctionnaire de l'OLP, en 1990, violant la loi israélienne, c'était comme s'il avait pris du thé avec un incubus. Enragé, Shamir l'a renvoyé du cabinet. Un an plus tard, cependant, Shamir lui même a rencontré des envoyés d'Arafats à Madrid. Une fois de plus, M. Weizman avait changé le paradigme. En tant que président de 1993 à 2000, un poste en grande partie cérémoniel, M. Weizman a continué à s'écarter de la tradition en prenant des positions politiques flagrantes. Il était pithy, undiplomatic et avait des notions notoirement rétrogrades sur les femmes, mais il a gardé l'affection des peuples en étant, comme sa fille Michal l'a mis à ses funérailles, un prince et pas un roi: patricien, mais jamais prétentieux. Beaucoup d'Israéliens ont également senti qu'ils partageaient la tragédie de son fils, Shaul, grièvement blessé par une balle de tireurs d'élite égyptienne alors qu'il servait dans le Sinaï en 1970. Shauls longues tourments et la mort éventuelle dans un accident de voiture 21 ans plus tard marqué la famille, Avait été cicatrisée. M. Weizman et sa femme ont rendu visite à tous les soldats blessés au cours de leur mandat présidentiel. Ce trait commun le faisait défier la convention jusqu'à la fin. Bien qu'il ait acheté une maison dans la ville balnéaire de Caesaria, ses liens les plus étroits étaient à Or Akiva, une ville pauvre de développement près, où il jouerait le backgammon dans un café avec les gens du pays. Il a choisi l'enterrement là au lieu de dans le cimetière de Mount Herzl à Jérusalem si un homme d'état américain avait choisi un cimetière distant, de petite ville au dessus du cimetière national d'Arlington. Seul un autre chef de sa taille avait fait une sortie aussi iconoclaste: son oncle, Chaim.


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